Le Chœur Laudate est composé en association. Voici donc les documents essentiels régissant cette association.
PV de l’AG du 11 mars 2015 : PV AG Laudate 2015
Statuts en PDF (version 2003) : statuts_2003
Le Chœur Laudate est composé en association. Voici donc les documents essentiels régissant cette association.
PV de l’AG du 11 mars 2015 : PV AG Laudate 2015
Statuts en PDF (version 2003) : statuts_2003
Le chœur Laudate vous convie chaleureusement à venir écouter
Ce programme réunira un ensemble d’œuvres sacrées et profanes, principalement à capella.
La partie sacrée aura comme protagoniste le texte du « Nunc dimittis » qui fait partie du Service du soir et mis en musique par plusieurs compositeurs à travers le temps et en plusieurs langues (latin, anglais et allemand).
Pour la partie profane, nous allons découvrir l’œuvre du compositeur et chef de chœur fribourgeois André Ducret. De sa vaste production chorale, nous chanterons une sélection inspirée également du thème du soir.
Roberto Rega, Direction
Edith Ioja, Orgue
Billets :
Sur place :
Adultes 25.- | Étudiants, AVS 20.- | Enfants 10.-
Prévente :
Adultes 20.- | Étudiants, AVS 15.- | Enfants 10.-
Réservez cette date et venez nombreux ! Télécharger l’affiche (fichier .pdf)
Pour payer vos cotisations ou faire des dons au choeur (dixit Olivier, notre trésorier), veuillez utiliser les coordonnées bancaires ci-dessous.
IBAN : CH95 0900 0000 1002 9381 7
N° de compte : 10-29381-7
Titulaire du compte :
Choeur Laudate
1000 Lausanne
Le choeur Laudate vous convie à venir partager un moment de musique baroque le 29 novembre à Lausanne et le 30 novembre à Genève.

Orchestre de chambre
Cyril Lefrançois, Hautbois
Roberto Rega, direction
Billets :
Sur place :
Adultes 40.- | Etudiants 30.- | Enfants 15.-
Prévente :
Adultes 35.- | Etudiants 25.- | Enfants 15.-
Ce printemps, le public romand n’aura pas eu l’occasion d’assister à un concert du chœur Laudate. Et pour cause : le chœur a en effet participé au festival International de Chant Choral « Nancy Voix du Monde » du 28 mai au 1er juin.
L’incroyable accueil du chœur lorrain « Les Croissants d’or » de Lunéville qui nous a hébergé, l’excellente organisation du festival, le plaisir de partager de fabuleux moments musicaux et le cadre même du festival sont autant de souvenirs inoubliables que les choristes, le directeur et les musiciennes ont ramenés de ce séjour.
Ce dimanche 11 mai, pour fêter dignement vos mères, nous vous proposons d’assister à la Messe à l’Eglise Saint-Joseph, aux Eaux-Vives à Genève. Cette messe sera animée par le choeur Laudate et sera suivie d’un mini-concert durant lequel nous vous présenterons une partie de notre nouveau programme. Ce programme sera interprété dans sa totalité dans le cadre du Festival International de Chant Choral « Nancy Voix du Monde« , qui se déroulera du 28 mai au 1er juin et pour lequel nous avons été sélectionné sur dossier.
La collecte organisée à l’issue du concert sera intégralement utilisé pour le cachet des deux musiciennes qui nous accompagnerons à Nancy, Edith Ioja et Yohanna Rieckhoff.
Détails
Dimanche 11 mai 2014, Eglise Saint-Joseph, Genève
Messe à 11h, animé par le choeur Laudate
Mini-Concert à la fin de la messe, environ 20-30 minutes (fin prévue vers 12h30)
Piano : Edith Ioja
Violon : Yohanna Rieckhoff
Direction : Roberto Rega
Programme
Durant la messe :
Mini-concert (à env. 12h) :
Collecte organisée à l’issue du concert.
Le choeur Laudate se réjouit de vous retrouver à cette occasion et vous remercie de votre chaleureuse présence et de votre soutien !
Le chœur Laudate vous convie à un concert d’exception à l’occasion de ses 20 ans. Venez nombreux écouter ces pièces qui vous seront interprétées a capella ou accompagnées à l’orgue !

Rossella Giacchero, soprano
Edith Ioja, piano
Roberto Rega, direction
Genève
Collecte à la sortie
Lausanne
Sur place :
Adultes 25.- | Etudiants 20.- | Enfants 10.-
Prévente (auprès des choriste de Laudate) :
Adultes 20.- | Etudiants 20.- | Enfants 10.-

Edith Ioja, piano
Roberto Rega, direction

Rossella Giachero, soprano
Catherine Pillonel-Bachetta, alto
Andrea Fermi, ténor
Valerio Zanolli, baryton
Roberto Rega, direction
Carl Philipp Emanuel Bach était le deuxième fils de Johann Sebastian Bach. Son œuvre en général fut influencée par celle de son père, et plus particulièrement le Magnificat en Ré majeur. Le Magnificat est l’un des chants fondamentaux de la liturgie chrétienne catholique, lié au mystère de la Nativité et à la période de l’Avent. Comme beaucoup d’autres compositeurs, C.P.E. Bach s’est inspiré de ce chant pour écrire une œuvre majestueuse et solaire de large ampleur, composée de neuf sections alternant chœur et solistes. Le Magnificat fut achevé à Berlin en 1749 et servit de modèle, tout comme celui de Bach-père, au Magnificat (écrit également en Ré majeur) qu’un jeune Mendelssohn devait composer en 1822 à treize ans seulement.
L’ouverture de Mendelssohn Die Hebriden a été composée en 1830, un an avant la cantate Vom Himmel hoch. Les deux oeuvres sont écrites pour le même ensemble orchestral (cordes, vents par deux, 2 cors, 2 trompettes et timbales). Bien que fruits d’une commune sensibilité romantique, ces deux compositions sont très différentes par conception et nature : alors que l’ouverture Die Hebriden – l’une des œuvres les plus jouées et aimées de Mendelssohn – est inspirée par la Nature, la cantate Vom Himmel hoch est écrite pour la nuit de Noël et doit son origine à la tradition protestante des chorales de Luter.
Auteur et promoteur de la « Bach Renaissance », Mendelssohn nourrissait pour Johann Sebastian Bach la plus fervente admiration dont les traces sont plus qu’évidentes dans la cantate Vom Himmel hoch. Effectivement, tant la structure que l’écriture de cette œuvre sont un hommage ouvert au compositeur.

Frederico Tibone, piano
Roberto Rega, direction
Ces chœurs ont été écrits entre janvier et novembre 1895 mais l’œuvre n’a pas été jouée dans son intégralité avant 1973 puisque censurée par le régime soviétique.
Le premier chœur constitue une entrée en matière saisissante, et ceux qui le suivent, quoique assez brefs, demeurent très évocateurs. Il est à noter que le chœur final met en musique l’un des poèmes lyriques les plus célèbres de Lermontov.
Composé sur des poèmes de R. M. Rilke qui rendent hommage à la rose comme à tout son univers symbolique, ce cycle de cinq pièces s’exprime dans un langage musical tour à tour traditionnel et innovateur, harmonieux et dissonant, un langage cultivant donc une certaine esthétique du contraste fidèle en cela à l’image d’une fleur toujours douce mais épineuse.